Monique s'est toujours sentie appelée à s'occuper des personnes socialement marginalisées. En tant qu'infirmière praticienne, elle a travaillé avec des patients atteints du VIH, en particulier des femmes enceintes, qu'elle a soutenues en dehors de son travail ainsi que par l'intermédiaire de groupes de défense des intérêts de la communauté. Après avoir reçu un diagnostic de SLA à 32 ans, Monique continue de partager ses connaissances par l'intermédiaire d'une organisation à but non lucratif qui assure la formation d'infirmières dans les pays en développement. Son élocution et sa mobilité ayant été affectées, Monique utilise un appareil de CAA qu'elle contrôle par le mouvement de ses yeux pour travailler et communiquer.